Le forum d'entraide sur l'autisme
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témoignage Messagepar indiana2

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Message par Admin Mar 22 Aoû - 20:12


Re: témoignage
Messagepar indiana2 sur 14 Oct 2013, 00:37

Voila, je viens expliquer la suite de mon témoignage.

Après ma scolarité, j'ai commencé une formation en maintenance informatique au cours du soir dans une école de septembre 2008 jusque décembre 2008 et là-bas, ça allait au cours mais je n'avais que de l'informatique et ce n'était que 2 soirées par semaine à savoir le lundi et mardi soir, aussi, ça allait avec les autres mais on ne savait pas que j'étais autiste et j'ai voulu arrêté car je trouvais que je n'apprenais pas grand chose et j'ai voulu faire une formation au cours du jour.

Le 12 janvier 2009, j'ai commencé une formation par l'awiph (dans ma région) en maintenance informatique au cours du jour dans un centre de formation pour personnes handicapées physiques et sensorielles et j'ai arrêté le 3 juin 2009 car ça n'allait pas aux cours ni avec les autres mais par contre, on savait que j'étais autiste, oui, en informatique, je n'arrivais pas à diagnostiquer les pannes d'ordinateur, en français, je n'arrivais pas à rédiger des textes, dire des arguments, en office, je n'ai presque rien fait car je ne comprenais pas les exercices, etc.

Aussi, j'ai été renvoyé du centre de formation par le directeur car on trouvait que j'étais agressif.

En octobre 2009, je suis allé repasser des tests chez une psychologue à Uccle dans la région de Bruxelles et elle disait que j'étais un autiste classique et que pour le travail, je devais aller dans une entreprise de travail adaptée.

Fin mai et début juin 2010, j'ai fais une formation en informatique au cours du jour mais pendant 12 demi-journée au CEFOP à Mons et là-bas, ça ne s'est pas trop mal passé comme à l'école du soir car je n'avais que de l'informatique et ce n'était que des exercices pour apprendre à se familiariser avec la souris et le clavier et avec les autres, je n'ai pas eu de problèmes non plus mais on ne savait pas que j'étais autiste comme à l'école du soir mais j'ai trouvé que c'était des exercices que je savais déjà faire.

Le 31 août en 2010, j'ai commencé une autre formation mais par le forem (à Mons) en maintenance informatique toujours au cours du jour et j'ai arrêté en juillet 2011 car ça n'allait pas aux cours d'électricité ni binaire et avec les autres, ça n'allait pas trop non plus.

En octobre 2010, j'ai commencé un stage d'essai dans une entreprise de travail adaptée (de ma région) par la mirec pendant 2 semaines et j'ai travaillé dans plusieurs secteurs, j'ai d'abord travaillé au service informatique dans un bureau où je prenais des enveloppes pour les mettre dans une boite pendant que mon collègue les imprimaient sur un tapis, après, j'ai travaillé dans un autre secteur où je collais des étiquettes sur des enveloppes, aussi, j'ai mis des cartes dans des boites encore dans un autre secteur et j'ai compté aussi des centaines de livres qui se trouvaient dans des bacs, etc.

J'ai dû refaire un 2ème stage d'essai là-bas toujours par la mirec mais pendant 1 semaine en février 2011 et j'ai arrêté le 3ème jour car ça n'allait pas à cause du rendement, oui, je devais encoder des bons d'achat en 1 minute 30 et je mettais à chaque fois + longtemps et mon maitre de stage m'a chronométré, c'était au service informatique dans un bureau.

Aussi, on se moquait de moi là-bas et on s'était déjà moqué de moi à la 1ère période et mon collègue disait que je faisais des gaz dans le bureau.

En mars 2011, il y'a eu une autre formation qui s'appelait la formation à tout métier qui fesait partie de la formation assembleur d'ordinateur et qui se passait à Frameries mais pas tous les jours de la semaine et c'était un comportementaliste qui donnait cette formation-là pour les stagiaires qui devaient être réorienté pour un travail qui leur convenait.

La formation a duré jusque juin 2011.

En juin 2011, j'ai fais un stage de 5 jours chez OXFAM à Charleroi dans le cadre de ma formation en assembleur d'ordinateur et donc, je devais remettre en service les ordinateurs des clients mais le 5ème jour, mon maitre de stage m'a évalué et il disait que je ne prenais pas beaucoup d'initiative, moi, j'ai trouvé que je ne savais pas si le stage se passait bien ou pas car 5 jours était une période trop courte pour moi.

Oui, je précise que mes 2 stages d'essai de l'entreprise de travail adaptée se sont fait à 2 périodes de ma 2ème formation en informatique et j'ai préféré reprendre ma formation que j'ai arrêtée malgré tout en juillet 2011.

Maxime.
Dernière édition par indiana2 le 14 Mar 2015, 22:44, édité 6 fois au total.
indiana2

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Re: témoignage
Messagepar PE62 sur 09 Nov 2013, 12:16

Bonjour Maxime, je viens de lire ton témoignage : quel courage tu as !!

Je comprends ton point de vue : tu dis qu'on te donne toujours des ordres et que tu en a marre de suivre les règles... mais tu comprends qu'il faut des règles, non ?
tout le monde est obligé de respecter les règles et toi aussi, c'est normal !

tes parents ont juste voulu que tu te comportes bien en société pour que tu puisses trouver un travail. Tu le comprends ? Ils ne t'ont jamais donner des ordres pour leur plaisir à eux : ils voulaient ton bien, non ?
visitez mon blog :http://enseignant-ados-autistes.over-blog.com/
PE62

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Re: témoignage
Messagepar asiafan sur 30 Juin 2014, 13:06

J'espère que ceux qui t'ont causé des emmerdes auront un jour une plainte aux fesses... et je ne savais pas que tu poussais dans les escaliers Wink
asiafan

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Re: témoignage
Messagepar indiana2 sur 12 Juin 2015, 01:33

Bonjour à tous,

Voila, après + d'1 an après avoir commencé à expliquer sur mon parcours scolaire et aussi les formations en informatique, le stage en entreprise de travail adaptée, je vais me décider à expliquer mes problèmes que je subis depuis 2009 par ma mère, son copain, ma famille malgré que j'en subissais déjà avant 2009.

Je vais expliquer aussi mes expériences/vécus que j'ai eu avec les autistes du SUSA que j'avais commencé à côtoyer en février 2009 ainsi que ceux sur les forums pour autiste, oui, le 22 avril 2008, quand j'étais encore à l'école, à ma dernière année, ma mère avait recontacté le susa en disant que je n'étais pas facile et le 1er août 2008, j'étais allé repasser des tests au susa à Mons et c'est le directeur du susa qui m'avait fait passer les tests et il avait même félicité ma mère de s'être toujours battue hors qu'elle ne m'a jamais protégé des injustices ni des méchancetés que j'ai subies à l'école et sinon, je lui avais dis que je voulais rencontrer d'autres autistes du susa et il m'avait dit que le samedi 6 à 7 fois par an que le susa organisait des sorties et le 21 février 2009, il y'a eu la 1ère journée loisir et j'ai fais la connaissance de plusieurs autistes du susa comme Alexandre, Eric, Alain, David, Nicolas, Adrien, Philippe, Michel, Carole et Joël et à d'autres journées loisirs, j'avais fais la connaissance de Daphné, Isabelle et François et j'avais connu un nombre de 13 autistes mais voila, je me suis rendu-compte au fil des mois, des années que les relations n'avaient jamais durées mais par contre, je n'ai jamais vraiment su quel était leur niveau d'autisme à part Alexandre qui était asperger et Eric qui a été diagnostiqué pour sa mémoire et aussi, aucun n'étaient inscrit sur les réseaux sociaux comme msn et Facebook à part Nicolas et aussi, ils n'avaient pas les mêmes loisirs que moi.

Quand j'ai été repris en charge par le susa en janvier 2009, je leur ai expliqué les problèmes que j'avais à ma 1ère formation en informatique au réseau à Monceau-sur-Sambre et aussi, mes problèmes que j'avais avec ma mère, son copain qu'elle avait depuis mai 2007 ainsi que ma sœur, ma famille car le copain que ma mère a depuis 2007, j'ai toujours les mêmes problèmes qu'avec les 2 autres hommes qu'elle a eu dans le passé ainsi qu'avec ma mère, ma sœur qui eux ne fesaient que m'engueuler, me traiter d'emmerdeur, de menteur, de méchant, de fainéant, d'égoïste, aussi, eux ainsi que toute ma famille me disaient toujours qu'ils ne voulaient pas que je fasse certaines sorties comme aller dans des parcs d'attractions comme Walibi ou aller en discothèque ou au cinéma, bowling, non, ils voulaient que je sois encadré par un éducateur avec d'autres autistes du susa, ils ne voulaient pas que je conduise, que je fasse le métier que j'avais envie, que j'aie une copine car voila, ma famille a des préjugés sur les autistes en disant que les autistes ne sont pas capable de sortir ou n'ont pas envie de sortir, qu'ils ne sont pas capable de conduire car pour eux, les autistes ne sont pas capable d'anticiper, qu'ils ne sont pas capable de faire un métier avec des responsabilités, qu'ils ne sont pas capable d'avoir une copine car ils ne savent déjà pas s'occuper d'eux, qu'ils ne sont pas capable d'élever des enfants hors que voila, moi qui m'était inscrit sur des forums pour autistes comme satedi, asperger aide France et asperansa en février 2009, j'ai côtoyer pas mal d'aspergers et d'autistes de haut niveau pour partager mes expériences, mon vécu mais voila, la plupart habitent en France, quelques uns au Canada et très peu en Belgique, j'en avais connu un qui s'était inscrit sur satedi en avril 2009 qui s'appelait Anael mais voila, il n'a jamais cherché à savoir qui l'avait diagnostiqué et aussi, il y'avait un autre qui s'appelait Emmanuel, un asperger et qui était le président du forum satedi.

Quand j'ai expliqué tous les problèmes que j'avais à l'éducateur et à la psychologue du susa, ils n'ont pas voulu prendre ma défense comme le SAI de Charleroi qui m'avait pris en charge du temps de l'école pour tous les problèmes que j'avais là-bas car ils disaient que déjà, ils n'étaient pas chez moi pour voir ou que ce n'était pas leur rôle mais par contre, quand ma mère allait se plaindre de moi aux réunions qu'il y'a eu en 2009 et en 2010, elle allait dire à l'éducateur et à la psychologue que je devenais agressif, que je ne voulais rien faire dans la maison ou qu'encore que je discutais avec des aspergers de France sur msn jusqu'à 1h ou 2h du matin et ma mère leur avait dit que je devenais agressif quand elle voulait éteindre mon ordinateur et elle et mon père avait dit à la psychologue que je posais des questions d'ordre sexuelle à mes grands-parents d'à côté (les parents de mon père).

Ma mère avait dit à la psychologue que c'était à cause des aspergers que je côtoyais sur le forum satedi hors qu'ils n'étaient pour rien dans l'histoire et elle avait dit à la psychologue qui était venue chez moi que mes parents devaient me mettre un contrôle parental pour limiter l'accès à msn et ma sœur m'en avait mis un et je ne pouvais plus accéder à msn, oui, la psychologue avait donné raison à ma mère en me disant que les aspergers de satedi avaient une mauvaise influence sur moi et que ces gens-là ne me valaient pas du bien hors que voila, ma mère qui avait accusé Jeoffrey, un asperger de France qu'il se fesait passer pour autiste, il l'était bel et bien en réalité.

En avril 2009, pendant les vacances de Pâques de ma 1ère formation en informatique, j'étais allé avec ma mère à la sécurité sociale de Charleroi me faire reconnaitre handicapé dans le monde du travail et le médecin qui m'avait posé des questions, il me disait que je savais travailler et ça n'avait pas marché pour les allocations d'intégration car je n'avais eu que 5 points et il en fallait minimum 7 pour avoir une allocation d'intégration, oui, il m'avait posé plusieurs questions comme savoir si j'étais inscris sur Facebook, si j'avais déjà eu un vélo-moteur ou si j'avais déjà eu une copine et j'avais répondu que non et il m'avait demandé si je voulais avoir un vélo-moteur et une copine et j'avais répondu que oui.

Après avoir arrêté ma 1ère formation en informatique le 3 juin 2009, l'éducateur et la psychologue du susa ont discuté avec ma mère que j'aille travailler bénévolement à son bureau 1 ou 2 jours par semaine car ils ne voulaient pas que je reste à ne rien faire de mes journées mais je n'étais pas d'accord vu que je n'aurais pas été payé et malgré ça, ma mère m'avait obligé que j'aille les lundis à son bureau hors que voila, je trouvais que ce n'était pas une bonne solution et l'éducateur et la psychologue du susa m'avaient dit qu'à partir de janvier 2010 que j'irais travailler un jeudi sur 2 donc 1 fois tous les 15 jours au susa pour faire du travail de bureau et notamment encoder une bibliothèque de livre dans excel et aussi, l'éducateur du susa avait commencé à m'apprendre à prendre le train déjà en 2009 de la gare de Charleroi ou de Marchiennes-au-Pont jusque Mons pour que je puisse travailler bénévolement chez eux, oui, quand il y'avait eu réunion pour le bénévolat au susa avec moi, ma mère et l'éducateur et la psychologue, ma mère avait accepté que je fasse du bénévolat car je ne devais pas payer mon train pour venir au susa car mon père conduisait les trains au chemin de fer et donc, j'avais le train gratuit.

Sinon, voila, ma mère qui avait demandé un suivi au susa quand j'ai été repris en charge par eux en 2009, l'éducateur était venu plusieurs fois à domicile pour m'apprendre des recettes de cuisine après avoir arrêté ma 1ère formation en informatique.

De janvier 2010 jusque août 2010, j'ai travaillé bénévolement au susa donc une fois par semaine tous les jeudis et au début, j'allais un jeudi sur 2 et puis, après, je suis allé tous les jeudis et je fesais du travail de bureau comme encoder une bibliothèque de livre dans excel, faire du rangement, coller des étiquettes sur des enveloppes, affranchir des enveloppes, oui, le susa voulait que je travaille bénévolement chez eux en attendant que le neuropédiâtre du susa me trouve une autre formation en informatique qui se trouvait en-dessous de leur bureau au sous-sol, oui, mon dernier bénévolat qui était le 26 août 2010, j'avais dû faire un curriculum vitae dans excel avec la psychologue du susa pour la formation et elle m'avait même dit que la vie, ce n'était pas à glander sur son ordinateur tous les jours ou dans son diva et aussi, quand je lui disais que j'étais venu travailler bénévolement tous les jeudis parce qu'on m'a obligé et bien, elle m'avait répondu qu'on ne m'avait jamais obligé mais proposé et que le jour que je ne voulais plus venir que je lui disais et que je ne venais plus mais voila, ma mère m'avait déjà dit que l'éducateur et la psychologue du susa m'avait obligé à travailler bénévolement car ils ne voulaient pas que je reste à ne rien faire de mes journées.

En août 2009, le neuropédiâtre du susa avaient envoyé moi et mes parents chez une neuropsychiatre à Forest en région bruxelloise pour me faire reconnaitre handicapé dans le monde du travail et avoir les allocations d'intégration vu que ça n'avait pas marché chez le médecin de la sécurité sociale de ma région et quand mes parents ont expliqué mon cas à la neuropsychiatre, elle avait demandé à ma mère de retrouver tous les rapports de toutes les personnes que j'avais été voir avec ma mère quand j'étais enfants et adolescents, donc le rapport de la logopède, psychomotricienne, psychologue, susa, bulletins de l'école secondaire mais pas primaire et la neuropsychiatre avait dû reconstituer tout un dossier pour que je puisse avoir les allocations d'intégrations mais voila, j'avais été plusieurs fois de août 2009 jusque mars 2010 une fois par mois et parfois, j'allais avec ma mère et parfois avec mon père et mes parents avaient raconté à la neuropsychiatre ce que j'avais vécu dans les 4 écoles différentes en secondaire et elle, elle m'avait posé plusieurs questions sur l'autonomie car voila, mes parents avaient expliqué aussi les problèmes que j'avais eu à ma 1ère formation en informatique et que je ne fesais rien de mes journées à ce moment-là et la neuropsychiatre m'avait demandé si je fesais des tâches ménagères ou si je fesais en sorte que la maison était nettoyée, entretenue et rangée pour quand ma mère revenait de son travail et ma mère lui avait dit qu'elle me fesait passer à l'aspirateur dans la salle de bain et la neuropsychiatre m'avait même demandé si quand j'aspirais si j'allais dans les coins tout des trucs comme ça.

Aussi, elle me demandait si je cuisinais parfois et ce que je devais faire dans tel ou telle situation si par exemple, mes parents étaient partis quelques part, que j'étais tout seul chez moi et qu'il n'y avait plus rien dans le frigo ni les armoires et que tout était vide et je lui avais répondu que j'irais chercher une boite de légume au magasin près de chez moi, de la viande et des pommes de terre et elle m'avait demandé comment on fesait pour cuire une boite de légume et je ne savais pas trop répondre et elle disait que je ne savais pas répondre à ses questions.

Aussi, la neuropsychiatre m'avait demandé comment je m'occupais de mes journées et ce jour-là, j'étais avec mon père et il me disait de dire à la neuropsychiatre ce que je fesais sur les forums pour autistes et je lui ai expliqué que je discutais avec des aspergers, des autistes de haut niveau sur des forums pour autistes comme satedi, asperger aide France et elle m'a demandé si je ne fesais que ça de mes journées et je lui ai dis que oui.

Sinon, pour l'allocation d'intégration, elle disait à mon père que si ça ne marchait pas qu'il fallait aller au tribunal et au dernier rendez-vous pour le dossier qui était le 12 mars 2010, la neuropsychiatre avait expliqué à mon père que pour avoir l'allocation d'intégration qu'il fallait me mettre sous administration des biens provisoires et aller au juge de paix pour que ça aie + de poids et mon père lui avait répondu que de toute façon, il fallait le faire car il disait que j'allais sur des forums pour autistes et qu'ils me voleraient mes biens ou mon argent ou me faire signer des papiers dans la rue et il lui avait même dit qu'Héléna, une asperger m'avait dit qu'on allait se rencontrer dans une chambre d'hôtel et la neuropsychiatre me disait avoir discuté plusieurs fois avec moi aux rendez-vous et que j'étais naïf car tout était clair dans ma tête.

Sinon, je trouvais que la neuropsychiatre n'étais pas toujours agréable avec moi et elle me rabaissait sur certains trucs en disant que je ne savais pas faire tel ou tel truc comme me brosser les dents et quand elle avait vu ça sur des feuilles de rapport du susa que je savais me brosser les dents, elle disait que c'est parce que c'était écrit mais qu'en réalité, je ne savais pas le faire.

Le 7 juillet 2010, je vais au juge de paix de Jumet avec ma sœur, ma mère et mon père et on attend dans le couloir car il y'avait plusieurs personnes dans la salle de tribunal et quand ça été à notre tour, on est rentré et on est allé dans le bureau du juge derrière et le juge de paix m'a demandé pourquoi j'étais ici et je lui ai répondu que c'était pour avoir une allocation de revenu vu que mon père m'avait dit ça et tout de suite après, il me coupe la parole en me disant que j'allais sur des forums pour autistes et qu'ils me voleraient mes biens ou mon argent et le juge a tranché et ma sœur, ma mère, mon père et moi, avons signé et le juge avait même dit que tout ce que je signais genre Neckermann était nul.

Sinon, après, j'avais demandé des explications à mon père car il avait encore accusé les autistes des forums pour autistes et bien, il m'avait juste dit qu'il avait dit au juge qu'il voulait me protéger hors qu'il ne l'avait pas dit comme ça au juge de paix et j'avais discuté avec lui ce jour-là l'après-midi chez mes grands-parents d'à côté et bien, on n'avait fait que se disputer l'après-midi et quand je lui avais dis qu'on ne m'avait jamais volé mon argent, il m'avait dit que ça viendrait un jour et sinon, quand je lui avais demandé des explications, il m'avait même dit que je devais arrêter car sinon, j'aurais un macas et que je me demanderais qu'Est-ce qui a éteint la lumière.

Aussi, à partir d'octobre 2010, j'avais commencé à suivre des cours de gestion financière au susa 1 fois par semaine et parfois, j'allais une après-midi pendant ma formation en assembleur d'ordinateur et au cours de gestion financière, j'avais fais la connaissance de Cyril, un autiste du susa.

A partir de février 2012, j'avais commencé à faire partie d'un groupe de parole au susa qui avait lieu une fois par mois et j'avais fais la connaissance de Loïc, un autiste du susa et on discutait de nous, nos centres d'intérêts, des relations amoureuses, etc.

A partir de juillet 2012, j'avais commencé à suivre des cours de cuisine au susa une fois par semaine avec Cyril et Cédric, un autre autiste du susa dont j'avais fais sa connaissance aussi.

Sinon, voila, j'expliquerai la suite dans les prochains jours.

Maxime.
Dernière édition par indiana2 le 03 Aoû 2015, 03:20, édité 5 fois au total.
indiana2

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Re: témoignage
Messagepar indiana2 sur 08 Juil 2015, 04:28

Voila, je continue d'expliquer ma situation depuis février 2009, oui, après avoir arrêté ma 2ème formation en informatique, comme j'en avais parlé à l'éducateur et la psychologue du susa, ils avaient téléphoné à ma mère et ils avaient fixé une réunion le 26 juillet et j'avais dû reprendre un bénévolat au susa mais tous les lundis au lieu du jeudi et comme le susa avait déménagé dans ses nouveaux locaux, on a dû me réexpliquer comment ça fonctionnait et la photocopieuse n'était plus au même étage que le service d'accompagnement pour adulte comme c'était le cas dans les anciens locaux du susa et aussi, ma mère avait encore été se plaindre de moi ce jour-là à la psychologue en disant que je discutais avec des aspergers de France sur msn jusqu'à 2h du matin et elle qui se demandait ce qu'ils fesaient jusqu'à ces heures-là, la psychologue avait dit à ma mère que c'était des gens normaux qui utilisaient le prétexte "asperger" pour ne pas travailler.

L'éducateur et la psychologue du susa m'avait fait reprendre un bénévolat car ils ne voulaient pas que je reste à ne rien faire de mes journées et comme il n'y avait rien d'autre pour moi, j'ai dû reprendre le bénévolat et ça avait commencé en septembre 2011 et ce jour-là, j'avais fais la connaissance d'Emmanuel, un autiste du susa qui travaillait bénévolement aussi ainsi que François, un autre autiste que j'avais connu en 2011 au cours de gestion financière.

Je fesais toujours du travail de bureau donc comme de l'encodage sur ordinateur, coller des étiquettes sur les enveloppes, détruire des documents, faire du classement, etc, mais je n'étais toujours pas payé vu que c'était du bénévolat.

Aussi, l'éducateur et la psychologue du susa ont voulu que déjà en août 2011 que j'aille travailler bénévolement au bureau de ma mère le mardi et le jeudi et à partir de septembre 2011, ils ont voulu aussi que j'aille travailler le vendredi et donc, je travaillais 3 jours par semaine au bureau de ma mère et le lundi au susa.

Au bureau de ma mère, je mettais des cachets sur des certificats médicaux, j'encodais les certificats médicaux à l'ordinateur, j'allais tirer des dossiers aux classements à partir d'un n° de dossier, etc, et sinon, le + souvent, j'étais dans le bureau de ma mère à travailler sur l'ordinateur.

A la mi-février 2012, je n'ai plus été travailler au bureau de ma mère pendant + de 4 mois car ma mère avait été en congé maladie pendant 1 mois donc jusque mars 2012 et le 1er mars 2012, quelqu'un a repris l'ordinateur où je travaillais et donc, j'ai continué de travailler au susa tous les lundis.

Maxime.
Dernière édition par indiana2 le 09 Sep 2015, 04:05, édité 2 fois au total.
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Re: témoignage
Messagepar indiana2 sur 03 Aoû 2015, 02:36

Voila, je continue d'expliquer mes problèmes que j'ai depuis 2009, oui, un lundi que je travaillais au susa, l'éducateur m'a demandé pendant que j'étais à la photocopieuse si j'allais toujours au bureau de ma mère et je lui avais répondu que non et je lui avais expliqué que quelqu'un avait repris l'ordinateur où je travaillais et il me disait que ça, ça n'allait pas et qu'il faudrait y retourner et il s'était mis en contact avec ma mère ou avec le manager du medex où ma mère travaille et on avait été à Bruxelles moi, ma mère et la psychologue du susa pour signer une convention de bénévolat car moi qui avait commencé à faire du bénévolat au bureau de ma mère à partir de septembre 2011, je n'avais pas de contrat de bénévolat mais à partir de juillet 2012, j'avais eu un contrat de bénévolat que j'avais dû signer ainsi que ma mère et les contrats duraient 3 mois comme ça après 3 mois, j'avais le choix de renouveler ou pas et aussi, on avait supprimé le vendredi et donc, je n'allais plus travailler que le mardi et le jeudi au bureau de ma mère et mon contrat avait pris fin le 30 septembre 2013 et moi qui ne voulait pas trop renouveler mon contrat, ma mère l'avait renouvelé pour moi et donc, j'avais dû continuer de travailler à son bureau et la 2ème période 3 mois avait pris fin le jeudi 20 décembre 2012 et après, je n'avais pas renouvelé le contrat car je n'avais plus trop envie de travailler au bureau de ma mère vu que je ne fesais que me la farcir et mon père qui devait déménager du nord de la France pour aller habiter au sud-ouest, il m'avait demandé que j'aille l'aider avec ma sœur, mon oncle et le déménagement avait lieu le 29 janvier 2013 et donc, c'était dans la période des 3 mois vu que ça aurait été de janvier 2013 jusque mars 2013 et ça n'aurait pas été possible de renouveler le contrat et malgré que j'aurais pu le renouveler à partir d'avril 2013, je ne l'ai pas fais et donc, j'ai continué d'aller travailler bénévolement au susa tous les lundis.

Quand j'étais allé aider mon père à emménager ses meubles dans sa nouvelle maison au sud-ouest de la France fin janvier 2013, on a dû sortir les meubles du camion et ma sœur et mon père avaient déjà commencé à me crier dessus tout ça parce que je n'allais pas assez vite pour les sortir et aussi, depuis que mon père avait déménagé, ma sœur voulait que j'aille le voir 10 jours par mois avec elle tout ça parce qu'il ne veniat plus chez mes grands-parents parfois comme il fesait avant et j'avais dû y retourner en avril 2013 pour l'anniversaire de mon père et aussi en novembre 2013 mais voila, quand j'allais chez lui, lui et ma sœur ne fesait que me crier dessus surtout quand on me demandait de faire tel ou tels trucs tout ça parce que je ne me dépêchais pas.

Le lundi 25 février 2013, il y'a eu une réunion au susa et les autistes ainsi que leur mère sont venus car la psychologue et l'éducateur nous ont expliqué que le bénévolat au susa s'appellerait "s-team" à partir de 2013 et c'était lancé officiellement depuis janvier 2013 mais ça n'a commencé qu'en avril 2013 et donc, c'était toujours le même genre de travail sauf que voila, il y'avait des semaines où ça pouvait être 2 jours maximum quand par exemple, il y'avait trop de travail, l'éducateur demandait à moi et à d'autres autistes du susa de faire du bénévolat le mercredi matin et aussi, on devait aller aider parfois des associations à l'extérieur comme les apéros montois qui avait lieu 4 fois par mois en juin, juillet, août et septembre le samedi et ces 4 fois-là, on allait aider les gens de l'association à démonter les tentes et aussi, on lavait les gobelets.

Le lundi 3 juin 2013, j'étais allé à l'administration communale de Dour qui était une activité du susa à l'extérieur donc vu que parfois, on devait aller aider à l'extérieur et j'avais mis des feuilles dans des fascicules avec d'autres autistes du susa.

Sinon, voila, après le lundi 30 septembre 2013, j'avais décidé d'arrêter le bénévolat au susa car mon père qui avait dû rendre 36 coupons de train au chemin de fer, je n'en avais plus assez et j'ai préféré garder les coupons de train restant pour le cours de cuisine, de gestion financière et le groupe de parole car voila, j'allais aussi au cours de cuisine et gestion financière toutes les semaines le mercredi car depuis juillet 2012, j'avais commencé à aller au cours de cuisine et depuis octobre 2012, j'allais au cours de gestion financière et depuis février 2012, au groupe de parole et ça, c'était une fois par mois.

Maxime.
Dernière édition par indiana2 le 03 Aoû 2015, 03:51, édité 1 fois au total.
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Re: témoignage
Messagepar indiana2 sur 03 Aoû 2015, 03:20

Aussi, je vais commencer à expliquer des sorties que j'ai fais avec d'autres autistes du susa mais en-dehors du susa mais voila, je me suis rendu-compte que je n'avais pas dutout les mêmes affinités ni les mêmes loisirs que les autres autistes du susa.

Le 9 juillet 2009, j'étais allé à Walibi avec Alexandre, un autiste du susa qui lui est asperger et que j'avais connu aux journées loisirs le 21 février 2009, oui, un jour que la psychologue du susa était venue chez moi, elle m'avait aidé à organiser une journée à Walibi en téléphonant aux autres autistes du susa et il n'y avait qu'Alexandre qui était d'accord et quand j'étais allé avec lui, il n'avait pas fait toutes les attractions comme moi, je voulais faire et donc, je ne les ai pas toutes faites vu que je vais + facilement si quelqu'un vient avec moi.

Le 18 avril 2010 pour mes 22 ans, j'étais allé à Walibi avec David un autre autiste du susa mais il n'avait pas fait toutes les attractions non plus et donc, je n'ai pas été dans les attractions qu'il n'a pas fait et le pire, c'est que quand j'avais téléphoné aux autistes du susa, il n'y avait que David qui était d'accord et moi qui avait raté mon train à la gare de Charleroi, ma mère avait dû aller me conduire et elle m'avait même dit qu'elle, elle aurait annulé car il n'y avait personne qui y allait à part David.

Le 3 août 2012, j'étais allé à Walibi avec Cyril et Loïc, 2 autistes du susa qui eux fesaient partie du groupe de parole car au groupe de parole en juin, la psychologue du susa nous avait demandé ce jour-là si on ne voulait pas aller à Walibi et on s'était arrangé pour y aller mais voila, ça ne s'était pas passé comme prévu car moi qui voulait faire toutes les attractions fortes, Cyril et même Loïc ne voulaient pas les faire toute et le pire, c'est que Loïc avait pris l'initiative de nous dire quelles attractions qu'on ferait et quand je disais à Loïc que je voulais faire tel ou telle attraction, il ne voulait pas.

Sinon, voila, ce jour-là, ma mère qui avait été me conduire à la gare de Charleroi-sud pour rejoindre Cyril et Loïc, Loïc avait vu que ma mère était fort expressive car déjà, quand le train était arrivé et qu'on était monté dans le wagon, ma mère m'avait dit après la sortie Walibi qu'elle avait du nous dire de nous asseoir car elle m'avait dit ainsi que si elle ne nous disait pas d'aller nous asseoir qu'on n'allait pas nous asseoir.

Aussi, je sais bien que moi qui avait commencé à parler de ma situation avec Loïc, ce jour-là donc, après avoir repris le train pour revenir à Charleroi, il me disait donc que ma mère était fort expressive et aussi, quand je lui avais expliqué que ma mère me disait qu'il n'était pas autiste s'il conduisait, il avait pris ma défense en disant que ma mère devait lui foutre la paix car sinon, il porterait plainte contre-elle.

Maxime.
Dernière édition par indiana2 le 09 Sep 2015, 04:20, édité 1 fois au total.
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Messagepar indiana2 sur 27 Aoû 2015, 02:47

Bonjour,

Je continue d'expliquer ma situation sur le forum et les démarches que les aspergers ont commencés à faire pour m'aider à partir de 2009, oui, cette année-là, je m'étais fais aider par Anael, un autiste de haut niveau que j'avais connu sur satedi en avril 2009 et lui qui m'avait dit qu'il m'aiderait, il a arrêté de m'aider à partir de début 2010.

Sinon, la plupart des aspergers que j'ai connu sur satedi, asperger aide France et asperansa, ils étaient de France et Laure, une amie asperger de France que j'avais connu aussi en février 2009, elle m'avait dit de parler de ma situation à Véronique, une asperger qui était modératrice sur le forum asperger aide France à ce moment-là et j'avais commencé à lui parler de ma situation déjà en 2009 et début janvier 2010, elle s'était mis en contact avec la psychologue du susa car voila, mes parents voulaient m'enlever l'ordinateur car je discutais avec des aspergers de France sur msn et aussi, ma mère et son copain voulaient que j'éteigne mon ordinateur à 22h30 car sinon, il retirait à chaque fois le fusible en bas.

Alors, voila, moi qui avait expliqué ça sur le forum asperger aide France, Véronique m'avait dit de demander un appartement supervisé au susa car elle disait que la seule solution de ne plus subir les engueulades chez moi, c'était de partir de chez moi et donc, j'avais demandé à la psychologue qu'elle recherche un appartement supervisé et elle ainsi que l'éducateur avaient trouvé un appartement supervisé dans ma région à Montigny-le-Tilleul et quand on avait eu rendez-vous avec la directrice de l'appartement, j'avais eu plusieurs questions à lui poser et sinon, elle avait expliqué que ce n'était pas possible que j'aille en appartement avant janvier 2012 sauf si une place se libérait + tôt.

En septembre 2011, le susa m'avait envoyé un compte-rendu qui disait que ce n'était pas possible que j'y aille car il n'y avait que 2 personnes inscrites et il en fallait 4 et donc, ils n'avaient pas pu ouvrir de bâtiment.

Alors, la psychologue et l'éducateur du susa avaient recherché un autre appartement dans ma région mais à Montignies-sur-Sambre et c'était un logement encadré novateur et là-bas, on n'a jamais eu de réunion et la psychologue m'avait dit quelques temps après qu'on n'avait pas de nouvelles et moi qui lui avait dit que je préférerais aller dans la région de Mons, elle avait trouvé un autre logement encadré novateur là-bas et ça s'appelait le SAPHA et la psychologue me disait que l'essai à l'autonomie avait lieu pendant 1 mois en septembre 2012 ou janvier 2013 mais l'essai ne s'était pas fait et j'avais seulement eu réunion avec la dame du SAPHA et ma mère le 18 avril 2013 et malheureusement, quand la dame a expliqué qu'on ne surveillait plus après 17h, ma mère n'était pas trop d'accord que j'aille là-bas.

Sinon, voila, j'expliquerai la suite dans les prochains jours.

Maxime.
indiana2

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Messagepar indiana2 sur 07 Sep 2015, 04:58

Bonjour,

Je continue d'expliquer ce que j'avais expliqué la dernière fois, oui, pendant les 3 années que l'éducateur, la psychologue du susa ont recherché un logement pour moi, j'ai continué de subir les engueulades par ma mère, son copain, ma sœur, ma famille et j'ai continué de rechercher de l'aide auprès des aspergers, des mamans d'autistes sur satedi, asperger aide France, asperansa, oui, à partir d'octobre 2010, j'ai commencé à côtoyer des mamans d'autistes que j'ai connue par plusieurs amis aspergers de France comme Ludovic à partir de sa liste d'amis et malheureusement, certaines mamans d'autistes comme certains aspergers n'ont pas pris ma défense pour ma situation ni pris ma situation au sérieux et le pire, certains aspergers m'ont insultés et manqués de respect et m'ont méprisés ainsi que certaines mamans d'autistes et il y'en a même plusieurs qui se sont plaintes de moi en fesant du bouche à oreille à leurs amies mamans d'autistes ou leurs amis aspergers.

Début octobre 2011, Véronique, une amie asperger de France donc m'avait mis en contact avec Muriel, une maman d'un asperger de Liège en Belgique car je continuais de lui expliquer ma situation et elle l'avait connue par Magali, une asperger qui elle était une amie à Muriel et moi qui avait expliqué à Muriel et résumé mon parcours scolaire, ça l'avait révolté de tout ce que j'vais subis à l'école et dans ma famille car elle m'avait expliqué qu'elle, elle était toujours dans le bureau du directeur quand son fils asperger se fesait frapper et insulter à l'école et pour ma situation de maintenant que je lui avais expliqué, elle m'avait parlé de +- la même idée que Véronique mais des habitations protégées mais malheureusement, elle m'avait bloqué 3 semaines après l'avoir connue en me disant que j'étais trop exigeant tout ça parce que je lui avais expliqué que cette année-là, une amie asperger à elle qui s'appelle Jeanne m'avait inventé des trucs en me manipulant et en novembre 2011, elle m'avait même dit qu'elle ne me reconnaissait pas comme un asperger et elle aussi, dans une conversation de mamans d'autistes, elle était du côté des mamans d'autistes en me disant que Vincent ne m'aiderait pas pour ma situation car lui que je connaissais depuis juillet 2009, j'avais continué de lui expliquer ma situation et lui qui voyait bien qu'en 2 ans que ça n'avait pas changé, il avait parlé à un autre ami asperger de faire une pétition pour que le + possible de gens signent pour aller en justice et aussi de se déplacer en Belgique pour voir ce qui n'allait pas à ma situation mais Yohan, un autre ami asperger à lui que j'ai connu en 2009 aussi, il me disait que Vincent avait changé d'avis car il se serait senti impuissant.

En juillet et août 2011, Jeanne, une asperger de Belgique que j'avais connue en novembre 2010, je lui avais parlé de ma situation aussi et elle m'aurait dit de prendre un service juridique mais voila, moi qui aurait dû le faire tout seul, je lui avais expliqué que j'avais peur d'avoir des problèmes avec ma mère, ma famille après et comme je ne l'ai pas fais, elle m'a accusé de lui avoir fait perdre son temps.

Fin octobre 2011 ou début novembre de cette année-là, je m'étais fais aider aussi par Isabelle, une maman d'autiste que j'avais connue par Amandine, une autre maman d'autiste qui elle j'avais connue par Valérie, une maman d'autiste et asperger qui elle, j'avais connue par Ludovic aussi en novembre 2010 et comme j'expliquais très souvent ma situation à Valérie, elle m'avait parlé d'Amandine en juillet 2011, il me semble mais voila, moi qui avait expliqué ma situation à Isabelle, elle a pris ma défense pendant 2 ou 3 semaines mais après, elle ne l'a plus fait et elle qui était d'accord de discuter avec ma mère, j'avais peur d'avoir encore + de problèmes avec elle.

Le 11 avril 2012, j'étais retourné chez la neuropsychiatre à Forest avec ma mère pour renouveler les allocations d'intégrations et arrivé dans son bureau, ma mère lui avait donné 2, 3 rapports du susa en ce qui concerne la 2ème formation en informatique et le stage en entreprise de travail adaptée et elle m'avait demandé ce que je devenais depuis 2 ans et je lui avais expliqué que j'avais fais 2 formations en informatique et que ça n'avait pas été à cause des cours et des autres et ma mère lui avait dit que j'étais agité et pas concentré, qu'aussi que je devais étudier et que je ne le fesais pas et que j'allais me coucher tard tous les jours à 3h du matin et que je restais en bas à parler tout seul en allumant toutes les lumières en bas et en racontant ma vie et arpenter les murs hors que ce n'était pas vrai, quand j'allais en formation, je me couchais à minuit et les autres jours, c'était 1h ou 2h du matin et sinon, la neuropsychiatre qui m'avait demandé de préciser les dates de début et de fin des 2 formations en informatique, je lui avais dis tout en regardant à gauche et à droite et elle m'avait dit que j'étais un attardé mental et elle avait même parlé à ma mère de me prescrire de la ritaline pour les troubles de la concentration mais comme le médicament n'était plus remboursé complètement après l'âge de 16 ans, j'avais voulu un autre médicament et elle m'avait prescrit de la depakine qui était un anti-convulsifiant mais elle, elle disait que ce n'était pas vrai et elle voulait que j'en prenne 1 entier au matin et 1 entier le soir.

Aussi, ma mère qui lui disait qu'heureusement que j'allais travailler à son bureau, la neuropsychiatre a été dans son sens en disant qu'il fallait hors que ce n'était que du bénévolat donc et que je n'étais pas payé et le pire, c'est que quand on était sorti de son bureau et que j'ai dis à ma mère qu'elle m'avait traité d'attardé mental, ma mère m'a répondu que ce n'était pas vrai et que c'était moi qui inventait.

Le 21 avril 2012 donc, j'étais retourné sur le forum asperansa pour expliquer 2 nouveaux problèmes car j'étais resté pendant plusieurs mois sans poster là-bas, oui, j'avais expliqué surtout la depakine que la neuropsychiatre m'avait prescrit le 11 avril 2012 et aussi, ce que la psychologue avait dit sur les aspergers à la réunion du 26 juillet 2011 à ma mère et on m'avait dit de contacter Emmanuel, le président du forum satedi et je l'avais contacté donc et il avait été interpeller le directeur et la psychologue du susa le 1er juin 2012 et le mardi 5 juin 2012 après aovir été chez la neuropsychiatre, j'étais repassé au susa car la psychologue m'avait fixé une réunion et on avait parlé d'Emmanuel et ce jour-là, elle avait été de mon côté en me disant qu'elle savait bien que les relations ne se passaient pas toujours très bien chez moi et que ma mère était très négative et que c'était pour ça qu'on recherchait un logement et elle m'avait dit qu'on ferait une réunion avec Emmanuel et je l'avais vu dans la vraie vie le 22 octobre 2012 car la réunion avait eu lieu ce jour-là et on avait discuté de ma situation et pour le fait qu'elle aurait dit que les aspergers que c'était des gens qui utilisaient le prétexte "asperger" pour ne pas travailler, elle avait dit à Emmanuel que j'avais déformé ses propos car elle n'aurait jamais dit que les aspergers ne voulaient pas travailler mais que je ne pouvais pas rester au lit à ne rien faire hors que quand j'avais dis ça à ma mère, elle, elle m'a dit que la psychologue l'avait dit et que ma sœur était là et que donc, elle l'a entendu et moi aussi, je l'ai entendu vu que j'étais là.

Pour la depakine, la psychologue avait expliqué à Emmanuel que la neuropsychiatre m'ne avait prescrit car ma mère trouvait que j'avais des réactions agressives ou que j'étais agité et pour l'administration des biens provisoires, la psychologue avait expliqué à Emmanuel que la neuropsychiatre avait fait ça pour que j'aie les allocations d'intégrations mais voila, elle me disait encore ce jour-là devant Emmanuel que je me prenais pour une victime comme elle m'avait dit à la réunion du 26 juillet 2011 et on n'avait pas trop pris ma défense ce jour-là non plus et elle me disait qu'il y'avait des torts des 2 côtés et aussi, elle m'avait demandé si j'étais d'accord de refaire une 2ème réunion avec elle, Emmanuel et ma mère en janvier 2013 mais voila, cette 2ème réunion n'avait jamais eu lieu.

Maxime.
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Re: témoignage
Messagepar indiana2 sur 14 Sep 2015, 04:26

La dame du LEN de Namur avait fixé un rendez-vous à moi et à ma mère le 29 juillet 2014 et on était allé là-bas pour discuter donc et moi qui lui avait expliqué que je voulais aller au LEN pour prendre mon autonomie, ma mère a commencé à parler très négativement de moi en disant que ce n'était pas pour ça et que c'était pour aller sur internet tous les jours jusque 3h du matin, ne rien faire de mes journées et faire ce que je veux et sinon, ma mère a commencé à lui expliquer ses craintes et lui dire que voila, que je n'étais pas capable de vivre en autonomie, aussi, qu'elle avait peur qu'il se passe quelque chose et avec les autres personnes du LEN car on vivait en colocation et qu'aussi qu'elle n'aimerait pas qu'il se passe des histoires avec les autres du LEN car elle avait commencé à dire à la dame que moi aussi, du temps de l'école, qu'il s'était passé pleins d'histoire avec les autres élèves de ma classe, que j'allais toucher les parties génitales des garçons hors que moi, on me les touchait bien aussi et ma mère a commencé à dire à la dame que s'il se passait des histoires avec une fille du LEN qu'elle me ferait stériliser car elle avait dit à la dame qu'elle avait connu une collègue qui avait une fille trisomique et qu'il se passait tout le temps des histoires avec les garçons et que sa mère l'avait faite stériliser.

La dame m'avait expliqué donc que les appartements se trouvaient à Saint-Servais mais qu'il n'y avait pas de place à ce moment-là et qu'aussi que pour novembre 2014 que des appartements seraient construits à Havelange mais voila, la dame nus avait refixé un rendez-vous le 11 août 2014 pour visiter les appartements à Saint-Servais mais voila, moi qui avait parlé d'aller peut-être à Havelange, ma mère disait que c'était trop loin et aussi, comme c'était un petit village et pas pratique pour les transports en commun, j'avais préféré ne pas y aller car moi qui avait voulu continuer de faire des tours en bus avec Bastien et Iouri, je n'aurais pas pu revenir quand je voulais avec eux jusqu'à la gare car après la gare de Namur, j'aurais dû reprendre un bus pour retourner à Havelange.

Le 26 août 2014, j'avais eu rendez-vous au LEN de ma région et là-bas, aussi, ma mère avait été parler négativement de moi à l'éducateur, l'assistante sociale, etc, et eux, ils avaient expliqué que voila, que ce n'était pas le but du LEN quand ma mère leur avait dit que moi, je voulais couper les ponts avec ma famille, ne rien faire de mes journées, aller sur internet jusqu'à 3h du matin, etc, et ils avaient même dit à ma mère que c'était elle qui décidait car ils collaboraient avec la famille et ils disaient que ma mère devait être incluse dans mon réseau.

L'assistante sociale m'avait demandé à l'école, ça s'était passé comment et ma mère leur avait dit que ça ne s'était pas bien passé et qu'aussi, qu'ils s'étaient passé pleins d'histoires et que c'était ce que les profs lui disaient hors que voila, j'avais trouvé ça dégueulasse que ma mère parle de moi comme ça et sinon, j'avais demandé plusieurs renseignements là-bas, si je pourrais aller sur internet, faire des tours en bus avec mes 2 amis aspergers, etc, et sinon, l'assistante sociale qui m'avait dit au téléphone en juin 2014 qu'il fallait des activités de jour, elle m'en avait reparlé le 26 août 2014 et ma mère lui avait expliqué que je ne saurais pas travailler à temps pleins et que je ne savais pas me concentrer toute une journée et l'assistante sociale a expliqué à ma mère qu'on ne demandait pas des activités de jours à temps pleins.

Je lui avais demandé si je pourrais faire des tours en bus avec mes amis, revenir au soir comme eux font et l'éducateur me disait que je pourrais le faire mais pas tout de suite et qu'aussi que je devrais m'assurer des dangers et pour ce qui est d'aller dormir chez Bastien et de passer une nuit là-bas, ma mère avait carrément dit à l'éducateur qu'elle n'aimerait pas que j'aille dormir chez lui hors que Iouri, il avait déjà été dormir chez Bastien.

En août 2014, ma mère avait pris rendez-vous au LEN de Wavre et on avait eu rendez-vous le 9 septembre 2014 et là-bas, le directeur qui disait qu'il y'avait 1 place de libre, il disait qu'il fallait rechercher soi-même les activités de jour et sinon, ma mère qui avait expliqué au directeur qu'elle avait peur que je fasse mon essai là-bas et que j'avais des difficultés, que je ne savais pas raisonner, etc, distinguer le bien du mal, le directeur lui disait qu'il y'avait aussi des gens qui avaient des difficultés et que c'était des trisomiques et bine, ma mère lui avait dit que ce n'était pas la même chose et qu'ils n'avaient pas le même raisonnement que moi et qu'ils savaient mieux raisonner que moi et bien, le directeur avait été dans le sens de ma mère en disant qu'il la comprenait et qu'aussi que pour l'essai que c'était elle qui décidait et que de toute façon, je ne rentrais pas encore dans les conditions requises pour y aller et que je devais d'abord rechercher des activités de jour, que ma mère devait marquer son accord et quand je lui ai dis que l'awiph me disait que j'avais le droit d'aller en logement encadré novateur, le directeur me disait que l'awiph m'aurait dit que j'avais le droit de faire les démarches moi-même et que l'awiph ne décidait pas toute seule et que si ma mère n'est pas d'accord, le directeur ne sera pas d'accord et quand je lui avais dis que j'étais adulte et que je pouvais décider, il m'a dit ainsi que lui aussi était adulte et qu'il pouvait décider et sinon, il me disait que ma mère lui avait dit qu'elle était d'accord que j'essaye mis voila, quand on était remonté dans la voiture, ma mère m'avait dit que c'était trop loin et que j'aurais dû venir à Wavre pour rechercher les activités de jour avec le service d'accompagnement hors que voila, elle n'avait pas dit ça en face du directeur.

En juin 2014 quand j'avais commencé à expliquer ma situation dans les groupes autismes et privés sur Facebook, certains aspergers et mamans d'autistes m'avaient dit de contacter une association de parents d'autistes et à partir de fin novembre 2014, je m'étais décidé de contacter l'APEPA et j'avas expliqué toute ma situation à la vice-présidente qui elle a été à l'awiph faire suivre mon dossier et pour les appartements supervisés, elle m'avait expliqué que ça devait changer quand je lui disais que la psychologue de l'awiph m'avait dit que je ne pouvais pas aller vu que je n'avais pas fais l'enseignement spécialisé et moi qui lui avait demandé pour faire des sorties, elle m'avait parlé que le 19 décembre 2014 qu'il y'avait une journée sportive pour personnes autistes à Andenne auquel j'avais participé et j'avais eu la chance d'avoir vu le directeur de l'awiph centrale de Charleroi et moi qui lui avait expliqué ma situation, il m'avait parlé de faire une exception pour que je puisse aller en appartement supervisé.

Ce jour-là, j'avais demandé aussi au directeur s'il ne connaissait pas des organismes qui organisaient des sorties dans ce que j'aime bien et il m'avait parlé d'une association qui s'appelle mouvement "les personnes d'abord" à Verviers et il m'avait parlé aussi du SAPHO, un service d'accompagnement de ma région à Mont-sur-Marchiennes mais je connaissais déjà ce service-là.

Alors, la vice-présidente de l'APEPA avait demandé à la dame du mouvement de Verviers s'il n'y avait pas une antenne + près et elle lui avait dit qu'il y'avait une antenne à Namur et donc, j'avais écris à la dame par mail et elle me disait que chaque mardi de 17h30 jusque 20h qu'il y'avait des réunions.

Le 25 décembre 2014, j'avais connu Christelle, une maman d'autiste de ma région et après lui avoir expliqué ma situation, je lui avais parlé de la vice-présidente de l'APEPA et sinon, voila, pour vous dire qu'avec les plaintes de la part de mamans d'autistes de Belgique qui avaient été se plaindre à ma cousine et qu'elles disaient que je ne fesais que déblatérer ma famille, des mamans d'autistes ainsi que la vice-présidente de l'APEPA, Christelle me disaient qu'en réalité que je fesais une grosse dépression et qu'à cause de tout ce que j'ai subis donc, que j'aurais porté des traumatismes subis durant mon enfance, mon adolescence et que j'aurais n double diagnostic et la vice-présidente de l'APEPA qui avait vu moi le 19 décembre 2014 et ma mère le 9 février 2015 pour une réunion et bien, j'aurais un trouble du déficit de l'attention et elle aurait un trouble du déficit de l'attention car ça serait héréditaire.

Aussi, fin décembre 2014, moi qui avait voulu fêter le réveillon de nouvel an avec les enfants de Christelle car elle m'avait parlé d'eux qui eux avaient les mêmes loisirs que moi et que j'avais recherché des gens pour le réveillon de nouvel an, ça n'avait pas pu se faire car il fallait que Christelle vienne chez ma ère pour se connaitre et ma mère avait refusé et malheureusement, des personnes que la vice-présidente de l'APEPA avaient vu à la journée sportive pour personnes autistes, eux qui avaient recherchés de leur côté, ils n'avaient rien trouvé.

Les enfants de cette maman-là qui avaient les mêmes loisirs que moi car j'avais discuté avec eux, je lui avais expliqué que je m'étais rendu-compte que je n'avais pas ma place avec les aspergers quand j'avais vu ce que ça avait donné avec Bastien et Iouri et je voulais être avec des gens qui ont les mêmes loisirs que moi et malheureusement, j'avais eu des disputes avec elle ses enfants n'étaient pas toujours d'accord sur ce que je disais et elle qui avait commencé à m'aider et qui avait demandé une intervention au service d'accompagnement de ma région au SAPHO, ils n'avaient rien fait pour m'aider et sinon, à cause que ma mère avait continué d'être agressive avec moi en disant que la vice-présidente de l'APEPA, Christelle s'étaient mêlé de ce qui ne leur regardait pas, j'avais continué de pêter les plombs et à cause de ça, j'avais menacé la maman d'autiste de ma région sans le vouloir car elle aussi m'avait méprisé en janvier et des aspergers, mamans d'autistes qui ne prenaient pas ma situation au séreux + tous les traumatismes que j'ai subis durant mon enfance, mon adolescence, j'étais de + en + mal dans ma peau.

Le 13 janvier 2015, j'étais allé chez la docteur Peeters à Forest avec ma mère et elle lui avait encore parlé négativement de moi après que je lui avais expliqué les dernières
démarches qui avaient été faites au niveau des logements encadrés novateur, elle lui avait carrément dit que moi, ça n'allait pas dutout et que je menaçais de tuer ma mère et son copain hors qu'ils ne fesaient que me maltraiter psychologiquement et moralement.

Aussi, ma mère voulait absolument lui parler de certaines choses mais pas devant moi car sinon, elle disait que je lui ferais encore un caca nerveux et la neuropsy lui disait qu'il fallait que je sois-là car elle trouvait que c'était important que je l'entende mais ma mère n'avait pas voulu lui dire devant moi, non, elle lui avait juste dit qu'il s'était passé des histoires sur les réseaux sociaux avec les aspergers et les mamans d'autistes et la neuropsychiatre avait encore repris la version de ma mère et ma mère lui avait dit qu'aussi que je ne fesais plus rien de mes journées, que je n'allais plus travailler bénévolement à son bureau hors que ça, j'avais arrêté après décembre 2012 déjà et au susa, j'avais déjà expliqué à la neuropsychiatre que je ne voulais plus y aller après le 30 septembre 2013 car je devais payer mon train et que c'était de l'argent jeté par les fenêtres et ma mère lui avait encore dit que j'allais me coucher très tard et qu'il était 6h du matin hors que ça, ce n'était quand même pas tous les jours et pour le logement, j'avais expliqué à la neuropsy que je voulais essayer au LEN de ma région ou au SAPHA à Mons et ma mère lui disait que le problème, c'est que la nuit, il n'y avait personne même au LEN de ma région mais voila, ma mère avait commencé à lui dire que la 1ère chose que je demandais aux rendez-vous des logements, c'est s'il y'a une connexion internet car ma mère lui avait dit que je ne voulais faire que ça et qu'au sablier qu'il n'y en avait pas et que c'était interdit dans ce genre d'institution hors que ce n'était pas vrai, il y'avait possibilité d'avoir une connexion internet au "sablier.

Alors, la neuropsy avait dit à ma mère que comme je ne fesais plus rien de mes journées qu'il fallait que j'aille dans un centre de jour car là-bas, il y'avait des activités toute la journée qu'elle disait et sinon, pour ce qui est du SAPHA à Mons, elle disait à ma mère qu'il fallait essayer quand même l'essai et que si ça n'allait pas qu'on réintroduirait une procédure au SPF de la sécurité sociale pour le 31 mars 2017.

Aussi, ma mère avait commencé à lui dire que comme je ne voulais pas payer mon train pour aller travailler bénévolement au susa qu'elle était obligée de payer pour moi hors que ma mère n'a jamais payé pour moi et la neuropsy lui a répondu que je n'avais rien à dire et que comme j'étais mis sous administration des biens provisoires et que c'était avec mon argent, qu'on m'imposerait le bénévolat et la neuropsy a dit carrément à ma mère qu'il fallait faire quelque chose sinon, on courait à la catastrophe.

Moi qui avait expliqué à la vice-présidente de l'APEPA que ni le susa ni la neuropsychiatre ne prenait ma défense pour mes problèmes et que quand ma mère allait lui parler négativement de moi que la neuropsy reprenait sa version, je voulais changer de neuropsychiatre et moi qui avait commencé à expliquer ma situation chez moi à Nicolas, un autiste du susa que j'avais connu le 21 février 2009, il prenait ma défense pour mes problèmes et quand je lui avais demandé s'il voyait un ou une neuropsychiatre, il m'avait dit qu'il voyait un neuropsychiatre ou un neurologue à Manage et je lui avais demandé son nom de famille qui est le docteur Deconinck et moi qui avait expliqué à la vice-présidente de l'APEPA que je voulais soit aller chez lui ou aller chez un neuropsychiatre à l'hôpital "notre-dame" à Charleroi dont Christelle m'avait parlé, la vice-présidente de l'APEPA me disait que c'était mieux d'aller à Manage car on fesait le double diagnostic et quand Alice a parlé à ma mère que je voulais changer de neuropsychiatre, après, ma mère a commencé à m'agresser et s'énerver sur moi en disant que des étrangers comme la vice-présidente et la maman d'autiste de ma région s'étaient mêlé de ce qui ne les regardait pas et quelles avaient dit à ma mère de changer de neuropsychiatre hors que moi, je voulais changer car je n'étais pas content de la docteur Peeters à Forest.

Un jour en janvier, la dame du SAPHA qui avait téléphoné à la vice-présidente de l'APEPA, elle avait expliqué ma situation à la dame et elle qui ne comprenait pas pourquoi je n'avais pas été à mon rendez-vous en juin 2014, elle avait dit à Alice qu'elle était d'accord d'en parler avec ma mère pour un essai au SAPHA et le mercredi 25 février, j'avais eu rendez-vous avec ma mère et la dame et elle avait expliqué à la dame que je voulais faire un essai et lui avait parlé négativement de moi en disant que je n'étais pas autonome, que je me laissais influencer par les aspergers, les mamans d'autistes sur facebook, que je ne savais rien faire tout seul, etc, et ma mère qui avait expliqué ses craintes, elle qui croyait que c'était encadré, la dame lui a expliqué que ce n'était plus encadré après 17h comme c'était le cas en 2013 et aussi, depuis que ce n'était plus la même dame, la période d'1 mois a été raccourcie à 5 jours suivant les personnes mais cette dame-ci trouvait qu'1 mois que c'était trop long.

Aussi, ma mère qui avait dit à la docteur Peeters que je voulais faire un essai au SAPHA, elle avait commencé à lui dire qu'alors, la dame du SAPHA n'avait qu'à prendre la responsabilité mais quand ma mère lui a expliqué ça, la dame lui a répondu qu'elle n'était pas responsable et qu'elle me donnerait les clés de l'appartement.

Le mardi 20 janvier 2015, j'étais allé à la réunion du mouvement à Namur et j'avais dis à la dame que j'étais venu pour faire des sorties dans des parcs d'attractions, fêtes foraines, discothèque, etc, et elle me disait que le mouvement n'organisait pas de sorties et que les personnes qui y allaient venaient pour s'auto-représenter hors que le directeur de l'awiph m'avait dit qu'ils organisaient des sorties mais la dame m'avait dit qu'on pouvait organiser des sorties en-dehors du service.

Après m'être présenté aux autres personnes du mouvement et dit que j'étais autiste, j'avais dis que je voulais organiser des sorties et Vanessa, une fille déficiente intellectuelle m'avait dit qu'elle était prête à faire des sorties avec moi ainsi que 2 autres personnes et elle me disait même qu'elle me trouvait normal et que j'étais un gentil garçon mais voila, quand elle était venue me reconduire à la gare de Namur avec les 2 autres personnes, j'avais été angoissé après malheureusement et je n'ai plus osé retourner au mouvement par la suite hors que j'avais ma chance de faire des sorties avec ces personnes-là vu qu'avec les aspergers, les enfants de Christelle, ça n'avait pas marché.

Un jour en mars, ma mère avait téléphoné au centre-psychiatrique Saint-Bernard de Manage pour un rendez-vous chez le docteur Deconinck qui est un neurologue et j'avais commencé à aller avec ma mère le lundi 9 mars et ma mère lui avait expliqué donc que moi qui expliquait ma situation à des aspergers, mamans d'autistes et qu'avec tout ce que j'avais subis dans l'enfance, à l'adolescence que je fesais une dépression et le neurologue m'avait parlé de 2 médicaments comme anti-dépresseurs, du sipralexa et du trazolan et j'avais expliqué ma situation au neurologue aussi de tout ce que je subissais chez moi après que ma mère soit sortie de son bureau et quand je lui avais dis que je voulais aller en appartement, je lui avais expliqué les démarches qui avaient été faites depuis février 2010 et il me disait que ça serait une bonne solution pour apaiser les tensions que j'avais chez moi.

Le mardi 24 mars, j'étais allé au centre génétique de Gosselies avec ma mère pour voir s'il n'y avait pas des gènes défectueux car ma sœur qui allait avoir un bébé, ma mère voulait savoir si j'avais des gènes défectueux ou pas et après, on avait discuté des démarches au niveau du logement et la dame nous avait voir l'assistante sociale et on en avait parlé mais voila, ma mère qui disait aussi que je ne serais pas capable de travailler et que dans un appartement supervisé ou logement encadré novateur qu'il fallait des activités de jour, mon ancienne neuropsychiatre avait déjà dit à ma mère le 13 janvier 2015 qu'il fallait que j'aille dans un centre de jour et ma mère avait commencé à dire à l'assistante sociale que je ne voulais pas y aller hors que voila, j'avais peur de ne pas me plaire encore une fois et aussi, je ne rentrais pas dans les conditions requises pour y aller pour l'awiph car je n'ai pas fais l'enseignement spécialisé.

Alors, quand on avait eu les tests pour les gènes, la dame nous avait dit qu'on n'avait rien trouvé.

Le 29 mars, quand François était venu me voir chez moi, moi qui lui avait demandé s'il n'avait pas des amis qui avaient les mêmes loisirs que moi, il m'avait parlé de Remy et il me disait que je pourrais très bien m'entendre avec lui et il me disait que Remy a un trouble du déficit de l'attention et je l'avais rencontré dans un lieu public le vendredi 10 avril et on avait discuté des sorties dans ce que j'aimais bien mais ce que François m'avait dit, ce n'était pas ce que Remy m'avait dit.

Pour mes 27 ans, on était allé à la foire de Charleroi avec eux 2, la maman d'autiste de ma région, sa fille et 3 autres amis à François qu'il m'avait présenté par surprise et ce jour-là, on avait discuté des soirées cinéma qu'on ferait et on en avait fait une le 30 avril, le 10 mai et le 16 mai.

Aussi, ce jour-là, le neurologue avait contacté une équipe mobile du regain de Châtelet pour voir au niveau de mon autonomie et d'un suivi à domicile et il m'avait parlé qu'ils viendraient chez moi le 1er juin et ce jour-là, on avait parlé de ma situation et les 2 personnes comprenaient ma situation mais au bout du 3ème rendez-vous chez moi, ma mère avait commencé à leur dire qu'il y'avait beaucoup trop d'intervenant en ce qui concernait une dépression et un trouble du déficit de l'attention et qu'on tournait en rond.

Le dimanche 3 mai 2015, moi qui continuait de subir d'être maltraité psychologiquement et moralement par ma mère, son copain et que lui qui m'avait dit que je consommais de l'eau pour rien car lui et ma mère me disait que je ne me lavais pas et que c'était du gaspillage, il m'avait dit ça en me criant dessus et ma mère qui n'avait pas voulu prendre ma défense, sans le vouloir, j'avais fais une grosse crise et j'avais sauté très fort sur le plancher en haut et lancé un objet au copain de ma mère, ma mère avait voulu appeler le médecin traitant de Jumet pour qu'il me prescrive des médicaments ou qu'il me fasse hospitaliser hors que la vice-présidente de l'APEPA, la maman d'autiste de ma région et François, mon ami asperger de ma région m'avait déjà dit qu'il fallait que je me fasse hospitaliser pour dépression mais le neurologue à Manage ne voulait pas et sinon, moi qui avait pleuré ce jour-là, j'avais prévenu François sur facebook et je lui avais téléphoné d'urgence en lui disant que ma mère et son copain continuaient de me maltraiter psychologiquement et moralement et je lui avais demander de faire venir la police chez moi et il me disait qu'il ne voulait pas le faire car il disait ne pas être témoin de la situation mais après lui avoir dit plusieurs fois que c'était vrai ce que j'avais subis, il avait fini par le faire mais il m'avait expliqué que les policiers ne voulaient rien faire et ils avaient appelés les pompiers et quelques temps après, la camionnette de pompier est arrivée et j'ai été les rejoindre en leur expliquant ma situation et François qui m'avait dit de me faire hospitaliser à Van Gogh pour me libérer des pressions que j'avais avec ma famille, il m'avait dit aussi de demander des médicaments et donc, j'avais expliqué ma situation aux pompiers dans la camionnette et moi qui leur avait dit que je voulais aller à Van Gogh, ils m'ont dit qu'ils ne pouvaient pas me mettre là-bas car c'est une unité psychiatrique et eux qui m'avaient proposés soit de rentrer chez ma mère, d'expliquer ma situation aux policiers ou alors d'aller à Marie-Curie à Lodelinsart, moi qui n'avait pas pu me décider tout de suite, je leur vais dis quelques minutes après que je voulais aller à Marie-Curie et un des 2 pompiers qui était allé chercher ma carte d'identité chez moi, il avait bien vu que ma mère était désagréable et que moi dans la camionnette que j'étais calme mais que voila, comme je n'étais pas blessé physiquement vu que c'était de la maltraitance morale et psychologique, le pompier me disait que je n'étais pas blessé physiquement et a moment que je m'étais décidé à aller à l'hôpital Marie-Curie, les 2 policiers étaient arrivés en voiture et ils étaient rentrés chez ma mère et son copain et se sont dit des trucs et après, un des 2 policiers était ressortis de chez moi et était monté dans l'ambulance et m'a demandé ce qu'il se passait et comme j'étais mis sous administration des biens provisoires et que c'est ma mère qui est mon administratrice, le policier m'a carrément dit que c'était ma mère qui décidait si je me fesais hospitaliser ou pas et il m'avait même dit que j'avais bloqué une ambulance pour rien et que les pompiers avaient des problèmes bien + importants que ça et le policier qui m'avait remis chez ma mère, il a parlé avec ma mère et en parlant du neurologue, ma mère avait dit au policier qu'il ne fesait rien pour m'aider et le policier avait dit à ma mère de changer hors que ma mère lui avait répondu qu'on avait déjà changé et moi qui avait expliqué que le 11 mai que j'avais rendez-vous à l'appartement supervisé "la courte échelle", le policier m'a répondu que ce n'est pas parce que j'irais en appartement que je ferais ce que je veux et que la vie que ça n'allait pas comme moi, je voulais et le policier avait même dit à ma mère de voir s'il n'y aurait pas une structure adaptée pour moi et il aurait dit à ma mère quand j'étais dans l'ambulance que je ne pouvais pas rester à ne rien faire de mes journées et sinon, après, ma mère m'expliquait qu'à Van Gogh que les pompiers ne pouvaient pas me mettre car c'était une unité psychiatrique et à Marie-Curie à Lodelinsart, ma mère me disait qu'il n'y avait pas d'unité psychiatrique et donc, elle n'avait pas voulu que j'aille.

Alors, après, ma mère avait contacté mon père sur skype en lui expliquant ce que j'avais fais ce jour-là donc et lui, il était d'accord que j'aille à Van Gogh.

Alors, j'en avais parlé d'urgence à la vice-présidente de l'APEPA pour lui dire ce qu'il y'avait eu et elle avait téléphoné à ma mère et lui expliquer mes problèmes et le copain de ma mère qui était là, la vice-présidente avait bel et bien entendu qu'il me criait dessus et elle me disait que ce n'était pas bien de sa part et elle qui avait dit à ma mère que je pourrais me faire hospitaliser à Van Gogh malgré qu'ils ne font pas le double diagnostic là-bas, Alice lui disait qu'on avait beaucoup modernisé à Van Gogh et qu'elle connaissait bien et elle m'avait expliqué que là-bas que je parlerais avec les psychologues, infirmières, voir aussi si je marche bien, s'il y'a assez de minéraux, de fer, de calcium, faire une prise de sang pour voir s'il n'y a pas un neuro-transmetteur défectueux, etc.

Alors, après que la vice-présidente avait eu fini de parler avec ma mère au téléphone, ma mère avait dit à son copain de tempérer mais voila, après, il n'avait plus voulu que je prenne son thermo quand je buvais du café pour souper et quand j'avais dis ça à la vice-présidente de l'APEPA, elle me disait que ce n'était pas bien de sa part.

Le lendemain matin donc, ma mère avait fait venir le médecin traitant de Jumet et lui avait expliqué ce qu'il s'était passé et après lui aovir expliqué, il avait fait un mot comme quoi je devais être hospitalisé mais moi, j'étais d'accord d'être hospitalisé et quand je suis arrivé à Van Gogh avec ma mère, j'avais parlé avec l'infirmier et lui, il m'avait demandé ce qu'il se passait et si j'étais agressif, etc, et après, il me disait que pour l'hospitalisation que c'était le psychiatre d'urgence qui prendrait la décision et moi qui lui avait parlé dans son bureau, je lui avais expliqué donc ce que j'avais eu la veille et quand ma mère lui a expliqué après et lui a dit que tous les soirs que je parlais tout seul en bas quand elle et son copain étaient couchés, le psychiatre disait qu'une hospitalisation d'urgence n'avait pas de sens et que c'était pour des patients qui avaient des crises aigües hors que moi, il disait que c'était chronique car le fait que je parlais tout seul que ça revenait tout le temps ainsi que le fait de répéter toujours la même chose.

Alors, le psychiatre avait demandé à moi et à ma mère si on n'avait pas un psychiatre de référent et je lui disais que depuis mars que je voyais un neurologue à Manage où on fesait le double diagnostic et il nous avait dit de reprendre contact avec lui mais voila, quand ma mère en avait parlé la 1ère fois au neurologue pour une hospitalisation, il disait qu'il ne voulait pas m'hospitaliser et donc, on avait dû ressortir de Van Gogh et ce jour-là, l'après-midi, ma mère avait téléphoné d'urgence au docteur Deconinck pour lui expliquer et il m'avait pris à 15h45 et on était allé à Manage mais voila, pour l'hospitalisation que je lui avais demandé, il m'avait dit que ce n'était pas envisageable comme ça et sinon, pour le double diagnostic, il avait expliqué que c'était la docteur Batels qui fesait ça mais comme la vice-présidente de l'APEPA m'avait déjà dit que c'était mieux que j'aille chez un homme, je n'avais pas osé aller chez la psychiatre et sinon, ma mère qui voulait que le neurologue me prescrive des anti-dépresseurs, il m'avait prescrit du sipralexa en boite normal, oui, quand François, mon ami asperger de ma région était venu me voir le 29 mars chez moi, je lui avais parlé des 2 anti-dépresseurs que le neurologue m'avait parlé et François m'avait conseillé d'essayer du sipralexa en boite générique et de combiner avec du wellbutrin et le neurologue m'avait répondu que c'était lui le docteur et après être revenu chez moi, ma mère avait recontacté mon père sur skype en lui expliquant ça et elle avait même dit à mon père que le neurologue m'avait dit qu'on arrêtait là quand je lui disais de me prescrire une boite générique.

Les enfants de Christelle qui avaient les mêmes loisirs que moi car j'avais discuté avec eux, je lui avais expliqué en décembre et en janvier que je m'étais rendu-compte que je n'avais pas ma place avec les aspergers quand j'avais vu ce que ça avait donné avec Bastien et Iouri et je voulais être avec des gens qui ont les mêmes loisirs que moi et malheureusement, j'avais eu des disputes avec elle ses enfants n'étaient pas toujours d'accord sur ce que je disais et elle qui avait commencé à m'aider et qui avait demandé une intervention au service d'accompagnement de ma région au SAPHO, ils n'avaient rien fait pour m'aider et sinon, à cause que ma mère avait continué d'être agressive avec moi en disant que la vice-présidente de l'APEPA, Christelle s'étaient mêlé de ce qui ne leur regardait pas, j'avais continué de pêter les plombs et à cause de ça, j'avais menacé la maman d'autiste de ma région sans le vouloir car elle aussi m'avait méprisé en janvier et des aspergers, mamans d'autistes qui ne prenaient pas ma situation au séreux + tous les traumatismes que j'ai subis durant mon enfance, mon adolescence, j'étais de + en + mal dans ma peau.

Sinon, moi qui avait eu plusieurs rendez-vous au SAPHO en mars, le 9 avril et le 16 avril avec ma mère, aux rendez-vous en mars, la dame m'avait dit ce qu'elle pensait de mon témoignage, de toutes les démarches qui ont été faite au niveau du logement et elle me disait que ma mère s'était toujours battue pour moi du temps de l'école même si j'étais toujours frappé, insulté par les autres élèves car elle dit que je sais lire et écrire hors qu'il n'y a pas que moi qui sait lire ni écrire et pour les problèmes que j'avais eu au mois de mars avec ma mère, la dame du SAPHO m'avait dit que ça, c'était la vie hors que moi, quand je crie soit-disant sur ma mère et son copain, on ne leur dit jamais que c'est la vie.

A partir du 9 avril, un autre éducateur du SAPHO avait repris mon suivi et je lui avais expliqué qu'en octobre 2014 que j'avais fais 2 après-midi d'essai au "sablier" qui est le logement encadré novateur de ma région et que l'assistante sociale devait me retéléphoner en décembre 2014 ou janvier 2015 pour une 3ème après-midi et nuit d'essai et on ne l'avait pas fait et quand j'en avais reparlé à ma mère début 2015, elle ne m'avait pas dit la 1ère fois que l'assistante sociale lui avait dit que ce n'était pas pour tout de suite.

Au dernier rendez-vous avec la dame du SAPHO, je lui avais demandé de téléphoner au "sablier" après lui avoir expliqué que je devais faire ma 3ème après-midi et nuit d'essai et à mon 1er rendez-vous avec l'éducateur le 9 avril donc, il m'a expliqué qu'on avait téléphoné là-bas, que mes 2 après-midi d'essai s'étaient bien passée mais que je n'avais pas d'activités en journée comme l'éducateur et l'assistante sociale du LEN m'avait déjà dit hors que je ne trouvais pas ça logique pour 2 raisons car déjà, à la réunion du 26 août 2014 là-bas, on m'avait dit qu'on rechercherait avec moi les activités de jour et qu'on pourrait m'accompagner et qu'aussi, que si je ne pouvais pas aller au "sablier", je trouve qu'on aurait pu me prévenir comme quoi que c'était parce que je n'avais pas d'activités de jour.

Au rendez-vous du 16 avril avec ma mère, moi et l'éducateur, il nous avait expliqué qu'il avait trouvé 2 centres pour autistes, l'un à Jette à Bruxelles et l'autre à Quevaucamps, près de la frontière française et aussi, il nous avait parlé d'un appartement supervisé "la courte échelle" à Charleroi et que je pourrais téléphoner mais que par contre que le week-end, il n'y avait personne.

Alors, ma mère a commencé à expliquer à l'éducateur que mes grands-parents d'à côté qui étaient partis en maison de retraite le jeudi 26 mars 2015, qu'elle et mon père m'avait proposé de racheter leur maison et que comme ça, j'aurais ma maison et que je serais à côté de chez ma mère et que s'il se passait quelque chose que ma mère serait juste à côté mais voila, il y'avait pas mal de travaux à faire que mes parents disaient et aussi, il fallait demander l'accord du juge de paix pour les travaux et aussi, moi, je n'étais pas trop d'accord et la vice-présidente de l'APEPA me disait que j'aurais encore le même problème que chez ma mère et en janvier, ma mère me disait qu'elle ne voulait pas que je rachète la maison de mes grands-parents car elle me disait que je n'aurais pas assez d'argent pour faire les travaux et que je ne gagnais pas assez par mois mais après, elle avait été se renseigner à la région wallonne et finalement, j'avais assez d'argent pour la racheter.

Sinon, voila, ma mère a changé pas mal de fois d'avis car au départ, elle voulait que j'économise le + possible d'argent à place et attendre encore 20 années pour avoir un bel appartement dans le brabant-wallon ou dans un quartier résidentiel, puis, elle me disait qu'elle voulait que j'aie un appartement supervisé et que je sois encadré 24h/24 par des éducateurs, puis, elle voulait que je reste chez elle au sein de ma famille car elle me disait avoir sacrifié toute sa vie pour moi, etc.

Un jour en avril déjà, après que l'éducateur du SAPHO ait donné les coordonnées à ma mère pour le centre à Jette et à Quevaucamps, elle a téléphoné à celui de Quevaucamps et ce n'était déjà pas possible que j'aille là-bas car ce n'était réservé qu'aux français et qu'ils n'étaient pas subventionnés par l'AWIPH et quand j'avais parlé de ces 2 centres-là à la vice-présidente de l'APEPA, elle me disait de ne pas aller là-bas car ce sont des autistes + profonds que moi et elle m'avait conseillé de prendre rendez-vous à "la courte échelle".

Alors, un jour en avril, j'avais téléphoné à "la courte échelle" et j'avais expliqué ma situation et elle m'avait fixé un rendez-vous le 11 mai et j'étais allé avec ma mère mais voila, là-bas, aussi, ma mère avait été parler négativement de moi aux 3 dames en disant ses craintes et qu'elle avait peur qu'il ne m'arrive quelque chose ou que je ne me mette en danger, etc, comme elle avait dit au responsables des 3 logements encadrés novateurs qu'on avait été voir en 2014.

J'avais expliqué ce que je subissais par ma mère, son copain, ma soeur ce jour-là et les dames ont commencés à me dire que là-bas que je serais avec d'autres personnes qui ont toutes sortes de handicap et que ça ne se passerait peut-être pas toujours bien non plus et elles m'ont parlés de participer à 4 activités en juillet et 4 activités en août avant de commencer à faire le stage de 15 jours en septembre ou octobre car elles me disaient qu'elles voulaient apprendre à me connaitre mieux d'abord et elles disaient que pour que la catégorie "160" qui est catgorie autisme soit crée qu'il fallait que la psychologue de l'awiph marque son accord et que ça passe par l'administration centrale de l'awiph et les 3 dames m'ont refixé un rendez-vous le 1er juin avec moi et la vice-présidente de l'APEPA car je voulais qu'elle explique mon autisme aux 3 dames et la psychologue de l'awiph ne devait pas venir d'après ma mère.

Aussi, quand j'avais demandé aux 3 dames si avec les autres bénéficiaires de l'appartement supervisé si on ferait des sorties dans ce que j'aime bien comme walibi, les dames m'avaient répondu qu'on ne ferait pas ce genre de sortie car elles disaient que c'était trop cher et que les bénéficiaires n'avaient pas beaucoup d'agent et que donc, on ferait des activités qui ne coûtent pas cher.

Le mercredi 20 mai, j'avais eu une 2ème réunion au SAPHA avec ma mère, la dame du SAPHA, la psychologue de l'awiph, la psychologue du susa, la dame du SAPHA et l'assistante sociale du centre génétique de Gosselies et on avait fait le point en ce qui concerne le logement et ma mère avait encore été dire devant les autres personnes que la vice-présidente de l'APEPA, la maman d'autiste de ma région et François se mêlaient de mes affaires et elle disait à chaque fois qu'elle ne trouvait pas ça normal que des étrangers se mêlent de mes affaires et ma mère avait encore été dire derrière le dos d'Alice que c'était pour ça qu'elle n'avait pas voulu qu'elle vienne à la réunion et moi qui voulait aller au SAPHA et à "la courte échelle", la psychologue de l'awiph m'avait dit que je ne pouvais pas choisir 2 projets et que je devais en choisir 1 des 2 et j'avais choisi "la courte échelle".

Le 1er juin, la vice-présidente de l'APEPA qui avait expliqué tout mon vécu, ma situation à la psychologue de l'awiph, elle s'était rendu-compte qu'il y'avait un problème et qu'elle trouverait une solution pour moi et elle était venue ce jour-là à "la courte échelle" et quand j'avais dis ça à ma mère, elle m'a encore dit que c'est parce que la vice-présidente de l'APEPA s'était mêlée de mes affaires et que la psycholgue de l'awiph qui aurait dit au départ qu'elle n'irait pas au rendez-vous du 1er juin, ma mère avait commencé à me die qu'elle avait retourné "kazak".

La vice-présidente de l'APEPA avait expliqué ma situation ce jour-là, mon autisme aux 3 dames et la psychologue de l'awiph qui était là, elle m'avait expliqué donc que pour que je puisse faire le stage de 15 jours en octobre que ça devait d'abord passer par l'administration centrale de l'awiph.

Un jour en juillet, j'avais reçu un courrier comme quoi ça la catégorie "160" a été accordé provisoirement à "la courte échelle"

Le mardi 7 juillet, j'avais eu rendez-vous à "la courte échelle" et j'étais allé seul pour discuter des 4 activités que je devrais participer en juillet et moi qui avait vu sur une affiche dans le couloir que des bénéficiaires de l'appartement supervisé allaient à Eurodisney le 18 juillet, je ne trouvais pas ça logique car Eurodisney qui est + cher que walibi, les dames m'avaient dit que Walibi, c'était trop cher et quand j'avais voulu leur demander des explications, elles ont commencés à me dire que j'avais un comportement désobligeant, que j'interrompais la parole quand les dames me parlaient et que c'était dans mon caractère et elles avaient décidés à me faire participer qu'à une seule activité qui était le code de la route le jeudi 9 juillet et moi qui leur avait demander de me donner le tableau des différentes activités, j'avais vu qu'il y'avait la piscine aussi mais les dames ne voulaient pas que j'aille à la piscine avec elles ni les bénéficiaires car elles disaient que c'était trop dangereux car elles disaient ne pas encore bien me connaitre et à cause de mon comportement désobligeant qu'elles disaient.

Alors, le jeudi 9 juillet, moi qui avait été démotivé d'aller à "la courte échelle" pour le code de la route car je n'avais pas été bien de ce que les dames m'avaient dit mardi 7 juillet, j'avais râté aussi mon bus à cause de ça et je n'étais pas allé à mon rendez-vous et j'avais dis à ma mère qu'on ne me voulait pas à "la courte échelle" car j'avais peur qu'elle me dise encore que c'est de ma faute si je lui avais dis que je n'étais pas allé à mon rendez-vous et quand j'avais retéléphoné le vendredi 17 juillet pour savoir quoi, la dame me disait que ça ne servait à rien qu'on continue avec moi vu que je n'étais pas allé à mon rendez-vous du 9 juillet.

Un jour en juillet, la vice-présidente de l'APEPA qui avait téléphoné à ma mère pour ma situation et le logement, elles s'étaient arrangées pour qu'on aille la voir le samedi 11 juillet à Bruxelles et elle qui avait expliqué mon autisme à ma mère et son copain, ils ont un peu mieux compris pendant quelques temps mais après, ils ont recommencés à ne plus rien vouloir comprendre et j'avais expliqué à Alice de ce qu'il y'avait eu à "la courte échelle" le jeudi 9 juillet et elle qui était déçue que je n'avais pas été, elle m'avait dit par contre que pour le fait que j'interrompais la parole que c'était l'hyperactivité.

Sinon, moi qui lui avait parlé d'autre démarche que j'avaient faites à propos du logement encadré novateur "le sablier" et que je devais aller là-bas en janvier déjà, elle avait dit à moi et à ma mère de retéléphoner là-bas et de voir où ça en était au niveau des activités.

Aussi, je m'étais décidé à retéléphoner au "regain" de Châtelet pour savoir pourquoi là-bas, je n'avais pas eu de nouvelles non plus et la dame me disait qu'en réalité qu'il y'avait eu un malentendu et qu'un psychiatre avait démissionné en décembre 2014 et sinon, elle me disait que pour un logement qu'il n'y en avait pas qu'on pourrait me proposer car il n'y avait pas de place et qu'il y'avait 4 personnes sur liste d'attente et pour un logement tout seul, elle m'expliquait que ça pourrait se faire et qu'on pourrait mettre un suivi à domicile et elle qui me disait que ça devait être dans les environs, je lui avais demandé si je ne pourrais pas avoir un suivi à Jumet Heigne à la maison de mes grands-parents et elle qui s'était renseignée, elle m'avait retéléphoné juste après en me disant que c'était faisable mais voila, j'avais demandé comme ça pour savoir hors que je n'était pas trop d'accord de la racheter.

Alors, moi qui m'était décidé à le faire un jour en août, j'avais eu une dame au téléphone en lui expliquant donc ce que j'avais fais là-bas et elle qui m'avait retéléphoné ce jour-là fin d'après-midi, elle me disait qu'en réalité, si je n'étais pas encore allé, c'est parce qu'il n'avait pas de place mais que je rentrais bel et bien dans les conditions requises pour y aller et l'éducatrice qui m'avait téléphoné le lendemain matin, elle me disait qu'en réalité que c'était de leur faute si on ne m'avait pas donné de nouvelles mais voila, elle m'avait expliqué que la personne qui devait partir en décembre 2014 ou janvier 2015 n'était pas partie et qu'elle partait seulement en septembre et elle m'avait expliqué donc que je ferais ma 3ème après-midi le 1er septembre et ma 4ème après-midi et nuit d'essai du 3 septembre au 4 septembre.

Le 19 août, j'avais de nouveau eu rendez-vous au SAPHA avec la dame et ma mère pour voir au niveau de l'essai ce que ma mère en pensait et ma mère qui avait déjà expliqué ses craintes le 25 février à la dame et aussi, le fait que je pourrais me mettre en danger ou les autres, la dame du SAPHA voulait l'avis de ma psychiatre aussi et moi qui avait dit que finalement, je préférais aller au "sablier" à Montignies-sur-Sambre car mes amis comme François, Remy, son ami et Christelle sont de Charleroi, je voulais rester dans la même région qu'eux.

Aussi, ma mère qui avait parlé à la dame que je rachète la maison de mes grands-parents, j'avais déjà dis à ma mère et mon père que je voulais tester mon autonomie dans leur maison pour voir si ça me conviendrait et avec la dame et l'éducateur du SAPHA, on avait convenu que je commence le jeudi 20 août pendant 1 semaine et ce jour-là, j'avais nettoyé la cuisinière, fait les poussières dans toute la maison, fait à souper le soir.

Le vendredi 21 août, j'avais nettoyé la maison en bas, la nuit du samedi 22 août au dimanche 23 août, j'avais dormir dans une des 2 chambres qui était la chambre de ma sœur et le mardi 25 août, j'avais nettoyé les 2 chambres en haut qui était la chambre de ma sœur et celle de mes grands-parents.

Le jeudi 3 septembre, moi qui avait fait les courses, fait à souper et nettoyer 2 pièces du logement encadré novateur le lendemain, ça s'était bien passé, oui, j'avoue que j'étais gagnant en allant au sablier plutôt qu'à "la courte échelle" car au sablier, je pouvais déjà faire mes 2 derniers essai en septembre tandis qu'à "la courte échelle", le stage d'essai de 2 semaines, ce n'était pas avant octobre mais voila, malheureusement, j'avais dû dire à l'éducateur que pour la suite, de laisser en suspens car j'étais hospitalisé à partir du lundi 14 septembre.

Sinon, j'aurais voulu sortir avec des gens qui ont les mêmes loisirs que moi pour être + épanouis et ne plus être isolé ni triste comme je l'ai toujours été auparavant et pour ça que je vais me faire hospitaliser à partir du 14 septembre pour un double diagnostic dans un centre-psychiatrique qui se trouve à Manage et donc, à suivre avec l'équipe mobile du regain de Châtelet que le neurologue à Manage avait contactée...

Maxime.
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